4 ans après que Disney ait relancé la saga intergalactique, la nouvelle trilogie arrive enfin à son climax avec Star Wars : L’Ascension de Skywalker pour mettre un indicate finale à un récit qui a commencé il y a 42 ans. Une determination qui laisse une douce amertume…
On prévient d’avance les summation tatillons d’entre vous, notre critique contient de minuscules SPOILERS, mais rien de bien méchant. Promis.
Cette postologie composée du Réveil de la Force et des Derniers Jedi et de ce Star Wars : L’Ascension de Skywalker aura fait beaucoup couler d’encre dès ses prémices. Concocté par Disney, les fans auront pris peur dès l’annonce du rachat de Lucasfilm par le studio. Il faut dire que Star Wars est devenue la plus grande saga de divertissement de tous le temps, relancer une telle marque c’était sec’attaquer à une oeuvre sacralisée, à laquelle son créateur même, Georges Lucas, sec’était déjà cassé les dents avec sa prélogie.
Mais qu’on fasse le signal de notre côté, loin de toute rage fanatique, cette nouvelle trilogie par le studios aux grandes oreilles mind avait jusque là enthousiasmé : fifty’épisode vii de JJ Abrams était un divertissement solide et efficace une fois qu’on acceptait le postulat qu’il copiait le four pour renouer à avec 50’esprit de la saga originelle; et le eight de Rian Johnson nous avait bluffé par sa prise de risques iconoclaste qui prenait de revers toutes les attentes, au M damne des fans.
Pour ce neuvième opus, JJ Abrams est de retour derrière la caméra, signe avant coureur d’un certain rétropédalage de la role de la productrice en cheffe Kathleen Kennedy. On doit bien avouer que passer après Johnson, c’était une tâche ardue tellement il avait désamorcé toutes les propositions du vii. Mais pas impossible, et autant dire que le défi n’est clairement pas relevé. Pour créer de nouveau enjeu, Abrams et son scénariste Chris Terrio head ressortent du lid fifty’empereur Palpatine, introduit dès le panneau déroulant, sans aucune justification à sa survie…
Ce genre de trous béants de scénario sont symptomatiques dans tout le long métrage. Des Deus ex machina en veux-tu en voilà avec des nouvelles capacités insensées de la forcefulness (on peut téléporter des objets dorénavant), des dialogues expéditifs pour exposer les enjeux à défauts de les montrer par manque de temps (une Dyade de la strength) et une class poursuite au Macguffin complètement artificielle (encore une fois une carte…).
Après ce cinema et Batman V Superman, Chris Terrio prouve que boy scénario oscarisé d’Argo était un coup de take chances tellement il ne cesse de décevoir depuis. Parce qu’en effet, il suffit de prendre le temps de réfléchir à 50’histoire pour se rendre compte qu’elle ne tient aucunement débout (Une dague sith épouse la forme des ruines de l’étoile noire ?).
Un scénario bête bien filmé
J.J. Abrams en a bien conscience, c’est pour cela qu’il fait en sorte que son récit aille à une vitesse effrénée : les héros sautent de péripéties en péripéties sans temps mort. Jamais un épisode Star Wars n’aura eu un rythme si frénétique, à en faire pâlir Mad Max : Fury Road. C’est autant une force, rendant le métrage nerveux et divertissant, qu’une faiblesse en devenant quasi suffocant et faisant function de cache misère à ce scénario indigne.
Et c’est bien grâce a son réalisateur que le film n’est pas une catastrophe totale. Abrams a montré à mainte reprise qu’il savait tenir une caméra, et c’est la qualité principale (voir la seule). Les plans sont énergiques, majestueux, impressionnant et la mise en scène reste suffisamment inventive et solide pour brain faire gober les absurdités de 50’histoire. Il go far même à rendre encore addition effrayant fifty’empereur à travers boy corps atrocement meurtri et la photographie assurément sombre, qui étonne pour une production Disney.
Par ailleurs, le réalisateur se révèle être un tantinet addition original que dans le Réveil de la Force qui faisait tout pour rappeler l’épisode iv. Ici, les environnements sont faits pour être inventifs et dépaysants, et les scènes d’activity arrivent à être épiques, comme celle du fighting au milieu de fifty’océan. C’est une véritable extension de 50’univers et not une réminiscence.
Un film malade
Mais L’Ascension de Skywalker est un cinema définitivement malade. northward’arrivant pas à rebondir sur son prédécesseur, il alterne maladroitement entre rétropédalage, reconstruction et réponse à la va vite (coucou Snoke), ce qui le rend affreusement bancale. Le développement des protagonistes est le addition sommaire possible, sure faisant des virages à 180 degrés sans que fifty’on ne comprenne trop pourquoi. De nouveaux personnages secondaires alourdissent le récit, sans avoir de raison d’être ajoutés tandis que d’autres éléments sont greffés à la truelle dans ce métrage alors qu’ils auraient du être introduits dans les précédents. Cela est révélateur d’une incompétence de la function de la product qui n’a pas su créer une ligne directrice avec ses auteurs.
Trous béants, facilités, exposition outrageuse et incohérences, Star Wars : L’Ascension des Skywalker n’a pour lui que d’être divertissant et émotionnellement touchant par minute. Là où les deux précédents avaient une direction précise qu’ils arrivaient à tenir grâce à la vision de leurs auteurs, celui-ci ramasse les pots cassés de ce qui a été oublié de faire auparavant. Ayant trop à faire et pas assez de temps, il préfère bâclé plutôt que de simplifier, ce qui ne donne définitivement pas la conclusion que Star Wars méritait.